Punitions BDSM : nos 9 préférées

Votre soumis.e a commis une faute plus ou moins grave ? Il est grand temps d’un petit rappel à l’ordre en lui donnant une punition. On ne doute pas que vous avez déjà quelques idées mais nous avons voulu les compléter avec la liste de nos préférées. Certaines nous ont même donné envie de faire une petite bêtise…

La fessée

Elle est sans doute la première punition qui vous vient à l’esprit quand vous pensez punitions BDSM. Et pour cause, la fessée est un grand classique. Elle est la punition par excellence dans le monde BDSM, mais pas exclusivement. Les adeptes de la fessée sont nombreux.

Si elle peut être utilisée pour punir, elle peut tout aussi bien être une récompense. La fessée a un grand potentiel érotique qui augmente l’excitation et le plaisir, pimente la vie sexuelle d’un couple et augmente la libido. Eh oui, les fesses sont une zone largement érotique.

Maîtriser la gestuelle permettrait aussi d’atteindre l’orgasme. On vous donne un petit indice pour y parvenir : concentrez-vous sur la zone la plus charnue du fessier et proche de l’entrejambe. On parie que quelques-unes suffiront à vous faire mouiller… Vous prendrez bien quelques petites fessées ?

La fessée peut aussi être administrée par des accessoires comme un fouet, une cravache, ou encore une règle à fessées.

Les claques sur les autres parties du corps

Pourquoi n’y aurait-il que les fesses que vous pouvez claquer ? L’étendu du corps propose de nombreux autres endroits où il peut être plus ou moins agréable de recevoir une claque. Selon vos préférences sexuelles et limites que vous avez définies avec votre soumis.e, vous pouvez lui donner des claques sur le sexe, l’intérieur des cuisses, les pieds, les mains, le ventre, le visage… en maîtrisant bien sûr l’intensité. Vous serez plus délicat sur le visage que sur les fesses.

Homme dominant s'apprêtant à fesser sa soumise avec une cravache.
Ah le potentiel de la cravache…

Marcher à quatre pattes comme un.e chien.ne

Cette punition est un autre classique. Quoi de mieux pour faire comprendre sa faute avec votre soumis.e que de lui imposer une situation humiliante (et excitante) pendant une ou plusieurs séances BDSM en lui ordonnant de se déplacer exclusivement à quatre pattes comme un.e chien.ne.

N’hésitez pas à jouer le jeu à fond en lui mettant un collier et une laisse, voire une bâillon dans la bouche. Comme si votre soumis.e portait une muselière finalement. Ne vous privez pas non plus de lui mettre un plug dans les fesses, éventuellement avec une queue, pour parfaire l’accoutrement et pour lui titiller l’anus pendant qu’il ou elle marche à quatre pattes. On pense toujours évidemment au plaisir partagé, même dans la punition.

Restreindre les mouvements et les sens

Votre soumis.e a fauté ? Attachez-le ou la jusqu’à restreindre entièrement ses mouvements selon la faute commise. Cette restriction peut aller de la simple paire de menottes au bondage entier du corps si vous maîtrisez cet art sans risques.

Laissez quelques instants votre soumis.e se repentir seul.e ou bien jouez avec son corps pendant qu’il ou elle ne peut rien faire pour vous en empêcher. Vous pouvez l’enfermer dans une cage si vous en avez une à disposition chez vous ou que vous faites votre séance BDSM dans un donjon.

Vous pouvez en plus restreindre ses sens en lui bandant les yeux ou en lui mettant des bouchons d’oreille. La privation des sens peut décupler les sensations ressenties totalement inattendues puisque non anticipées.

Femme dominatrice offrant ses pieds à son soumis.
Vous avez de beaux pieds, vous savez.

Lécher les pieds de son maître ou de sa dominatrice

Amis fétichistes des pieds (nous vous savons nombreux !), cette punition est pour vous. Punissez votre soumis.e en lui demandant de s’asseoir à vos pieds et faites les lui lécher. Demandez-lui de vous les embrasser, de vous les lécher, ou même de vous sucer les orteils. La punition est à la fois humiliante et excitante. Assurez-vous toutefois que votre soumis.e est autant emballé.e par les pieds que vous.

Les femmes dominatrices, ou domina, portant des escarpins rendront ravie tout bon soumis et fétichiste des pieds.

Se balader en public dans une tenue provocatrice

Rendez votre soumis.e particulièrement provocant.e dans une tenue légère quelque peu humiliante et à la vue de tous (en fonction de la tenue bien évidemment). Le côté exhibitionniste peut avoir un côté excitant pour vous et votre soumis.e. Cette punition vous demandera néanmoins un certain cran et vous vous en doutez, d’éviter de vous balader en porte-jarretelles sur les Champs Elysées un dimanche après-midi.

Vous voulez une idée pour vous inspirer ? Attendez qu’il fasse nuit, faites mettre à votre soumise une mini jupe ou mini robe sans dessous, et faites lui monter des escaliers (du métro ou qu’importe). Son intimité sera à portée de votre vue si vous marchez derrière elle et de celle d’éventuels passants nocturnes. La prise de risque sera terriblement excitante.

La masturbation publique

Encore une punition publique ! Obligez votre soumis.e à se masturber en public jusqu’à l’orgasme sans faire de bruit. Il vous faudra seulement choisir le lieu opportun et les possibilités d’endroits peuvent varier pour un homme et pour une femme. Parce que la masturbation masculine est légèrement moins discrète…

Choisissez une salle de cinéma (en vous mettant au fond) pour une option relativement tranquille et discrète, ou un restaurant (en glissant la main sous la table), ou encore un bar à l’ambiance tamisée.

Femme soumise obligée de donner une fellation à son maître.
Inutile de vous faire un dessin… ce sextoy pourrait être votre pénis.

Etre obligé de faire une fellation ou un cunnilingus

En guise de punition, n’hésitez pas à demander une petite gâterie à votre soumis.e qui devra s’y employer jusqu’à vous faire jouir. En tant que domina, vous pouvez par exemple imposez à votre soumis un facesitting en lui collant votre vulve directement à sa bouche.

Tandis qu’en tant que maître, vous pouvez glisser votre sexe dans la bouche de votre soumise en contrôlant l’intégralité des mouvements de va et vient. Attention toutefois à ne pas trop faire de gorge profonde pour le côté désagréable que pourrait avoir la répétition de cette pratique.

Il est aussi possible de punir votre soumis.e en lui demandant de vous léchez goulument l’anus. N’hésitez pas à écarter vos fesses devant lui pour lui faciliter la manoeuvre.

Etre empêché de jouir

Il n’y a rien de plus frustrant que d’être amené au bord de l’orgasme et que la personne s’arrête juste avant. Cela a même un petit nom : on parle d' »edging » pour désigner le fait d’être amené au bord de l’orgasme.

Comment l’utiliser pour en faire une punition ? Amenez votre soumis.e dans cet état, attachez-le ou la de manière à lui rendre impossible de se toucher, puis partez. Vous pouvez répéter le processus plusieurs fois afin de décupler son excitation. Ne soyez pas trop sadique, il arrivera un moment où votre soumis.e vous suppliera de le ou la faire jouir. Accordez-lui cet orgasme bien mérité.

Une option plus trash s’offre à vous pour empêcher votre soumis.e de jouir en cas de faute plus grave : la chasteté. Utilisez une cage de chasteté pour le pénis, voire les testicules, rendant ainsi impossible l’érection, ou une ceinture de chasteté pour les femmes, pouvant également contenir un bouchon vaginal.

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