Les pratiques BDSM constituent un excellent moyen de pimenter sa vie sexuelle lorsque l’on a des petits penchants sadomasos… En s’adonnant à ces jeux érotiques violents, le duo dominant-soumis expérimentera des sensations orgasmiques ! Si vous êtes en panne d’inspiration, vous trouverez dans la suite de cet article une liste détaillée des pratiques BDSM les plus courantes à tester en fonction de vos fantasmes…
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Petite définition du BDSM
Afin de bien comprendre le BDSM, il faut tout d’abord en connaître la signification. L’acronyme regroupe les termes Bondage, Discipline, Domination/Soumission, et Sadomasochisme. Chacune de ces composantes contribue à former un cadre dans lequel
différentes pratiques peuvent être explorées selon les préférences individuelles des participants.
Le bondage et le discipline se concentrent souvent sur la contrainte physique, utilisant des cordes ou des accessoires spéciaux pour restreindre les mouvements. Cette forme de jeu permet de tester la confiance et la limite entre les partenaires. À l’opposé, la domination et la soumission évoquent souvent plus des jeux psychologiques où l’un prend les rênes du pouvoir tandis que l’autre accepte cette dynamique, ressentant ainsi un certain abandon.
Les pratiques BDSM pour débutants
Le bondage : ligotez votre soumis au lit !
Donnez-moi un B… comme Bondage ! Entrons directement dans le vif sujet avec la première lettre de l’acronyme BDSM. Si vous voulez devenir un pro dans cette discipline, il vous faudra réviser les bases. Vous l’aurez compris, pas question de faire l’impasse sur les cordes ! Le bondage vous offre des possibilités infinies en matière de ligotage : vous pourrez attacher votre partenaire au lit, lui lier les mains dans le dos, le suspendre, le contorsionner… Sachez que dans le monde des sadomasos, créativité est synonyme de jouissance !
Le bondage, également appelé shibari, est non seulement populaire mais également symbolique de cet univers. Cette pratique est appréciée tant pour son esthétique, avec une approche parfois presque artistique, que pour l’expérience sensorielle unique qu’elle procure.
La flagellation et la fessée : la punition sexuelle pour les novices !
S’il y a une pratique BDSM à tester au moins une fois dans sa vie, c’est bien la fessée érotique. Beaucoup d’entre nous avons un côté femme soumise ! Même si nous ne sommes pas dans le délire SM, une petite claque sur le cul pendant la levrette, ce n’est pas de refus, avouons-le… Les adeptes du sexe extrême en reprendront peut-être un peu, avec un supplément martinet s’il vous plaît ! Les outils de flagellation vous permettront de jouer avec votre victime en alternant les caresses et les coups selon votre bon vouloir ! Ponctuez les coups de fouet avec quelques insultes sexuelles afin de sublimer votre partie de jambes en l’air !
La privation d’orgasmes, un voyage au bord de la jouissance…
Ces pratiques BDSM soft consistent à stimuler sexuellement une personne pour la conduire au bord de l’orgasme… en lui refusant le grand saut ! Il s’agit d’une punition psychologique un peu bâtarde, mais bien pensée, car elle a le mérite de faire durer le plaisir ! Si vous êtes un vrai pervers et que vous souhaitez cumuler frustration sexuelle et souffrance, optez pour la cage de chasteté. Cet objet empêchant l’homme de bander provoquera des douleurs durant l’excitation.
La golden shower, le péché mignon des urophiles
Avis à tous les urophiles refoulés ! C’est le moment d’assumer pleinement vos fantasmes gênants en endossant le rôle du soumis ! Par ailleurs, ce jeu sexuel avilissant est sans douleur ! Vous pourrez implorer votre maître de vous pisser sur le corps, sur le visage ou dans la bouche si tel est votre désir… Qui sommes-nous pour juger après tout ? Toutefois, pour des raisons pratiques et d’hygiène, mieux vaut tester la golden shower dans la douche.
Le ass tо mоuth
Le milieu libertin est sans tabous, ou presque ! Il n’est pas rare de voir des personnes se faire péter la rondelle, puis sucer leur partenaire juste après. La fellation post-sodomie est très excitante lorsque l’on entretient un rapport sadomasochiste, car l’on offre au dominant le pouvoir de jouir dans tous nos orifices. Le don de soi est total. Nous vous recommandons tout de même un petit lavement au préalable pour éviter de réingérer le soir ce que vous avez digéré à midi… Nous nous sommes compris.
Les jeux de rôle
Les jeux de rôles constituent un aspect central des rencontres BDSM, permettant aux partenaires d’endosser des personnages différents et d’explorer des scénarios variés. Ces jeux peuvent être aussi simples qu’une interaction maître/serviteur ou impliquer des mises en scène élaborées nécessitant costumes et accessoires spécifiques.
Des tendances majeures émergent au sein des pratiques de rôle, incluant Femdom (où la femme domine) et Maledom (où l’homme est dominant). Indépendamment du genre, chacun peut explorer une variété de scénarios contribuant à enrichir la complexité de l’échange.
D’un côté, on trouve les jeux de rôles animaliers, à réaliser avec des colliers et des laisses, tels que le pоnу-рlау ou le pet-play. Dans le premier jeu, le dominateur chevauche le dominé comme s’il s’agissait d’un cheval ; dans le deuxième jeu, le soumis se comporte comme un animal de compagnie en répondant aux ordres de son maître. Si vous êtes plus terre à terre et que vous préférez rester dans le monde des humains, vous apprécierez peut-être les faux kidnappings, les visites médicales, les entretiens d’embauche et les fouilles au corps… Enfilez votre cagoule de cambrioleur et votre uniforme d’infirmière sexy, de soubrette cochonne ou de policier !
Les jeux érotiques hard de BDSM pour les plus expérimentés
Le fisting : devenez spéléologue des orifices humains !
Fister quelqu’un, c’est introduire tout son poing à l’intérieur de son vagin ou de son anus. Ceux qui aiment aller jusqu’au fond des choses enfoncent même leur avant-bras ! Fait correctement (avec des tonnes de lubrifiant) et en douceur, le fisting peut provoquer des orgasmes intenses dus à la forte stimulation du point G et parfois faire squirter les femmes. Si vous êtes au bord de l’évanouissement en lisant ces lignes, il est plus sage de vous arrêter ici. Soyons clairs, nous entrons à présent dans la cour des grands avec des rituels sexuels bien loin du sexe vanille ou des gentilles fessées. Âmes sensibles, s’abstenir !
Le facesitting, un grand classique du BDSM
Le facesitting fait partie des pratiques BDSM préférées des masochistes. La personne dominante s’assoit sur le visage de sa victime. Elle pourra lui imposer un cunnilingus et un anulingus afin de rendre ce moment encore plus humiliant ! On appelle aussi ce jeu le queening, car il est très souvent réalisé par des femmes dominatrices – alias les reines -.
Le trampling, pour les fétichistes des pieds
Si vous êtes à la fois maso et fétichiste des pieds féminins, cette humiliation érotique, proche du facesitting, devrait vous plaire ! Vous vous allongerez par terre et votre dominatrice piétinera votre corps, pieds nus ou avec des talons aiguilles. Elle pourra notamment écraser vos testicules et votre verge ! Cela sera l’occasion de contempler ses pieds tout en profitant des sensations douloureuses.
Le cock and ball torture, pour pousser la douleur à son paroxysme
Ce type de torture sexuelle réunit tous les sévices effectués aux organes génitaux (pincements, pressions, coups…). Le degré de souffrance est très variable : il va des douleurs modérées jusqu’aux douleurs extrêmes. Certains hommes, en quête de supplices violents, apprécient les coups de pied et des coups de poing dans les testicules. Il existe également des pinces à clitoris, des accessoires BDSM permettant d’exercer une pression sur le bijou de madame. Oui, à ce stade, nous avons définitivement quitté le monde des plaisirs bon enfant !
La sodurètre : la punition ultime
Ce mot étrange ne vous dit probablement rien. Il découle de la contraction des mots sodomie et urètre. Cela attise votre curiosité ? Accrochez-vous bien ! Le sodurètre consiste à insérer des objets dans l’urètre pour intensifier le plaisir sexuel. En effet, il semblerait que l’urètre soit une zone hautement érogène chez les hommes et chez les femmes. Vous l’aurez deviné, ce plaisir n’est pas sans douleur… Vous pourrez choisir un plug ou encore une sonde pour le tester. N’oubliez pas de bien stériliser votre matériel avant l’utilisation pour éviter les infections !
L’edgeplay : quand les frissons s’invitent dans la séance de BDSM…
L’edgeplay regroupe toutes les pratiques BDSM basées sur la peur. Parmi les plus connues, on trouve le needle play (jeu des aiguilles) ; les jeux en lien avec le feu ; l’asphyxie érotique ; ou encre le jeu du sang (avec des objets tranchants). Il s’agit des procédés les plus dangereux de tous. Même en étant réalisés de façon bien encadrée, nous ne vous les recommandons pas : risquer sa vie pour un orgasme n’en vaut pas la peine !
Les précautions à prendre lorsqu’on pratique le BDSM
Avant de se lancer dans les pratiques BDSM, il est important d’échanger longuement avec son partenaire sur ses envies et surtout sur ses limites. Nous ne pouvons que vous conseiller d’instaurer un safe word, un mot magique à prononcer en cas de douleur insupportable afin de stopper la séance de BDSM.
Entre chaque discipline SM, n’hésitez pas à faire des pauses aftercare pour examiner le corps de la personne recevant les châtiments. Les ecchymoses, les brûlures et les saignements font partie du jeu, certes, mais ils ne sont pas à prendre à la légère !
Si vous avez recours aux cordes et aux attaches, veillez à ne pas trop serrer : le sang doit pouvoir circuler correctement. Pensez à toujours bien désinfecter le matériel entre chaque utilisation et à le remplacer lorsqu’il est abîmé.
Enfin, lâchez-vous sur le lubrifiant durant les pénétrations violentes !