Squirt : conseils et techniques

Encore trop peu de femmes savent qu’elles peuvent squirter. Eh non, le squirt n’est pas exclusivement réservé à l’industrie porno et à ses actrices aux flux toujours plus impressionnants face à l’engouement suscité par ces contenus. Source d’une détente absolue, on vous donne nos meilleurs conseils et techniques pour libérer votre flux de joie, votre suc de volupté, votre eau de jade ! Perçons ensemble les mystères de la femme fontaine.

Squirt : conseils préliminaires pour l’atteindre

Excitation, détente, patience, confiance. Quatre mots et vous avez déjà tout ce qu’il vous faut pour squirter.

On s’hydrate et on se détend

Boire de l’eau ne fait jamais de mal et en plus, elle pourrait vous aider à squirter en gorgeant votre vessie. Mais pas que ! Cela permet aussi d’avoir la vessie bien hydratée et d’augmenter la lubrification naturelle du corps car quand vous êtes déshydratée, vous pouvez ressentir une certaine sécheresse vaginale, très peu propice au squirt.

Et lorsque nous parlons d’hydratation, il ne faut pas non plus oublier celle au niveau du vagin à l’aide de lubrifiant, à moins que vous ne soyez déjà trempée, sur-excitée par le futur squirt qui vous attend.

La détente continue. Inutile d’activer directement tout de suite vos doigts dans votre vagin. Commencez par vous masturber, voire aller jusqu’à l’orgasme, pour être parfaitement détendue. Ce n’est que dans cet état que vous pourrez squirter.

On s’entraîne en solitaire

Avant d’ouvrir complètement les vannes avec votre partenaire sexuel, il peut être intéressant de vous entraîner seule. Vous pourrez ainsi tester les réactions de votre corps à votre doigté et vous rendre compte du flux émis. Bon, vous n’arriverez probablement pas à squirter du premier coup. En tout cas, le jour venu, vous serez plus à l’aise avec votre partenaire.

Femme nue dans un lit essayant le squirt en solitaire.
Madame semble prête pour une séance de relaxation.

En solo, n’hésitez pas à utiliser un gode pour vous pénétrer en faisant un levier de manière à ce qu’il vienne taper dans le haut du vagin, non loin de la vessie. Si vous avez un sextoy incurvé, spécial stimulation du point G, c’est encore mieux. Car, c’est bien là que tout se passe. A vous le squirt.

On choisit un partenaire de confiance

Cela tombe sous le sens mais nous préférons quand même le dire. Etant donné que le squirt demande un lâcher-prise complet, le pratiquer avec un partenaire de confiance augmente quand même pas mal vos chances de succès. Oh et conseil supplémentaire : il est souvent plus cool, de manière générale, de faire l’amour avec quelqu’un qui vous inspire confiance. Simple. Basique.

Les différentes techniques

Il n’existe pas une technique universelle qui marche pour tout le monde à tous les coups. Cela étant dit, quelques techniques vous permettront de mettre toutes les chances de votre côté.

Mais d’abord, le squirt n’obéit à aucune règle. Certaines femmes le sentent venir, d’autres non. Il peut survenir au moment de l’orgasme, mais pas obligatoirement. Il est possible d’éjaculer en même temps, ou non. Certaines n’y arrivent qu’en solo, d’autres exclusivement en duo. Pour savoir de quelle team vous faites partie, le mieux est donc d’expérimenter.

Et parmi toutes ces femmes, il en existe même qui ont une émission fontaine systématique associée à l’orgasme. On les appelle les “femmes fontaines autonomes“. Si toutes les femmes sont fontaine, celles qui y parviennent à chaque orgasme sont plus rares.

Deux doigts dans le vagin.
La technique est parfaite. Il ne reste plus qu’a troquer ce pamplemousse contre le vagin de votre partenaire.

Deux doigts

Un whisky ? Prenez peut-être d’abord deux doigts. La technique est la plus efficace pour squirter. Seule ou avec votre partenaire, commencez par introduire l’index et le majeur crochetés dans le vagin. N’en sortez plus ! L’idée est de garder les doigts et le poignet fixes et de donner l’impulsion de la masturbation à l’aide de l’avant-bras. Avec cette technique, les doigts vont venir taper derrière le bas-ventre, juste au-dessus du pubis, pour réveiller le point G. Quant à l’autre main, utilisez-la pour venir exercer une pression sur le pubis.

Vous avez envie d’uriner ? Vous êtes sur la bonne voie, c’est un indicateur que vous êtes sur le point de squirter.

L’abus d’alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération. Préférez donc le squirt.

Une stimulation du clitoris

Chez les femmes pour qui le squirt se produit en même temps que l’orgasme, une stimulation du clitoris paraît appropriée. Mais au-delà, la stimulation clitoridienne est d’une aide précieuse pour squirter. Cunnilingus, doigts, tout est bon pour le squirt. Certaines femmes parviennent même à squirter quand on leur titille les tétons ou d’autres zones érogènes. Cela demande toutefois un peu d’entraînement pour associer ces zones au squirt.

Quelques positions propices au squirt

La pénétration vaginale marche aussi pour squirter. Mais certaines plus que d’autres. Il vous faudra en effet privilégier des positions impliquant une pénétration peu profonde en vue de stimuler le point G comme c’est le cas de l’Andromaque ou de la cuillère. En revanche, on oublie la levrette le temps du squirt.

Couple humide après une séance de squirt.
Non, ils ne sortent pas de la douche.

La position de l’Andromaque serait d’ailleurs la plus adaptée au squirt car en chevauchant votre partenaire, son pénis va remonter vers votre nombril et ainsi être naturellement incurvé, prêt à vous faire squirter.

Pénétration anale et squirt

Vous aussi, vous avez vu des vidéos pornographiques dans lesquelles Madame squirte avec la pénétration anale. Il y a même une catégorie réservée à ce type de contenus ! Est-il vraiment possible de squirter en se faisant prendre le derrière ?

Sans grand suspense, la réponse est oui ! Certaines femmes arrivent donc non seulement à squirter pendant la pénétration anale, mais affirment même que le flux expulsé serait plus important. Et c’est possible grâce aux très nombreuses terminaisons nerveuses présentes dans les muscles de l’anus et au fait que la membrane entre le rectum et le canal vaginal est en fait très fine.

Que se passe-t-il biologiquement ? Lors d’une pénétration anale, le canal vaginal va s’affaisser puisqu’il n’y a rien à l’intérieur, de sorte qu’il est assez facile de trouver le point G avec le sexe anal. Cette stimulation anale peut même être accompagnée d’une stimulation clitoridienne à l’aide d’un vibromasseur. Néanmoins, il est moins sûr que vous sachiez encore où donner de la tête. Vous pourriez peut-être devenir multi-orgasmique et en mettre plein les draps.

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